...j'ai la consistance d'un loukoum et l'énergie d'un chaton nouveau-né mais je dois faire face. Une nuit de plus, un jour encore...
Hier en fin d'après-midi, un ciel blanc et un vent fou laissèrent présager un changement météorologique. Le tonnerre gronda quelque part mais la pluie ne fit son apparition que plus tard. Je courus partout, comme une enfant, ouvrant grandes les fenêtres pour laisser entrer un semblant d'air plus frais.
La soirée se déroula au bruit des cris des hordes de familles ayant envahi le stade adjacent. L'extinction des lampadaires à 22h ne les dérangea pas et leur soirée festive s'éternisa. Exaspérée, je dus me résoudre aux boules Quiès. La nuit fut agitée car brûlante.
Et devinez quoi: depuis 7h20 ce matin, les sportifs ont envahi le stade: musique, micro, chants de guerre et cris. Soupir. La journée risque d'être difficile. Les stades urbains sont une calamité!
Je vais sortir et aller oublier les aléas d'une cohabitation délicate.
Profiter de la vie, des bons moments, aimer, partager, foncer, avancer, laisser de côté les petits soucis pour ne voir que le meilleur..Les sportifs se couchent bien à un moment...et j'ai ma provision de bouchons d'oreilles! 😊
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